It took me a while to stop laughing at these images for long enough to finish this post… What an exciting ‘virtual architecture’ lineup we have this weekend! On Saturday, the National School of Architecture of Marseille will be opening their new virtual school in Second Life – in parallel with a real world exhibition at 7:40 am PDT (SL time).
Below is the invitation text, translated through Google Translator. My French is rusty – but so is this translation. If anyone can translate this more accurately, please send it to info@archvirtual.com). I have also pasted the French text below as well. More info can be found on their site here: http://www.marseille.archi.fr/bateaubus/secondlife.html
In parallel to the real world in which we live and a place where “the ferry boat business, there are a multitude of unexpected worlds. They are inhabited by strange beings digital garrulous, enterprising and creative. They are not uncomfortable, you are experiencing random teleportation, to ask “where did you buy your hair?” Unusual question down here, but quite harmless in their world.
In fact, they are called the “Avatar”. Those are virtual incarnations of normal people like you and me, who, behind the anonymity of Web express all their extravagance free from prejudices and constraints of real life. They remake a life giving free rein to their imagination and demonstrating an astonishing creativity.
“Second Life” is one of those worlds. Virtual Universe posted by the company Linden Lab in 2003, it continues to grow thanks to the converging efforts of millions of people who inhabit it. A true reflection of real life, it is characterized by an economy and a clean life social well-developed. He also knows a great success with teachers, artists and advertising for his skills to facilitate collaboration, creativity and trade. Surpassing the playful dimension, this world has become a meeting place for professional, innovative and of experimentation.
We have seen in this world means to extend the exhibition beyond the spatial and temporal limits imposed by reality and we have put online a virtual version available 24/24, anywhere in the world.
A triple bottom is behind the company: to present the School of Architecture of Marseille and in particular the remarkable building that houses it, expand the public from exposure to people who can not physically move to the places of the real presentation and reconstruct the atmosphere in the workshops during the workshops.
This issue has a particular interest. The atmosphere of a workshop of architecture is very specific, it is both studious and festive, motivating and stressful, it brings together teachers and students. In times of reflections are followed by heated discussions around layers and drawings pasted on walls, displayed on tables or thrown to the ground. And amidst this chaos, the projects take shape and are emerging here and there, cuts outlook and plans. When arrive the last line right before rendering, back bend, eyes surround and form down, but the excitement rises, walk to adrenaline: the ultimate cart. Students are busy people to his post as sailors on a boat facing a storm, forgetting differences and we focus on the task which we are responsible for a good project for a perfect record, for better Note … for a common cause.
Here are the behind the scenes not seen in the actual exposure but is told through immersion, interactivity and information offered by Second Life.
Then, go into another world, visit the private island of ENSAM:
http://slurl.com/secondlife/Utopic/163/187/23
Parallèlement au monde réel dans lequel nous vivons et dans lequel a lieu « L’affaire bateaubus », il existe une multitude de mondes insoupçonnés. Ils sont peuplés d’étranges êtres numériques bavards, entreprenants et créatifs. Ils ne ressentiront aucune gène, vous rencontrant au hasard des téléportations, à vous demander « où avez-vous acheté votre coiffure ? » question insolite ici-bas mais tout à fait anodine dans leur univers.
Au fait, on les nomme les « avatars ». Ceux sont des incarnations virtuelles de gens normaux, comme vous et moi, qui, derrière l’anonymat du Web expriment toute leur extravagance à l’abri des préjugés et des contraintes de la vie réelle. Ils se refont une vie donnant libre cours à leur imagination et faisant preuve d’une étonnante créativité.
« Second life » est l’un de ces mondes. Univers virtuel mis en ligne par la firme Linden Lab en 2003, il ne cesse de se développer grâce aux efforts convergents des millions de personnes qui l’habitent. Véritable miroir de la vie réelle, il se caractérise par une économie propre et par une vie sociale très développée. Il connaît aussi un grand succès auprès des enseignants, des artistes et des publicitaires pour ses qualités facilitant la collaboration, l’inventivité et les échanges. Dépassant la dimension ludique, ce monde est devenu un lieu de rencontre professionnelle, d’innovation et d’expérimentation.
Nous avons vu dans cet univers le moyen de prolonger l’exposition au-delà des limites spatiales et temporelles imposées par la réalité et nous avons mis en ligne une version virtuelle accessible 24h/24h, de n’importe quel endroit du monde.
Un triple enjeu est derrière cette entreprise : présenter l’école d’architecture de Marseille et notamment le bâtiment remarquable qui l’abrite, élargir le public de l’exposition aux personnes qui ne peuvent pas se déplacer physiquement jusqu’aux lieux réels de la présentation et reconstituer l’ambiance qui régnait dans les ateliers lors des workshops.
Ce dernier enjeu a un intérêt tout particulier. L’ambiance d’un workshop d’architecture est très spécifique, elle est à la fois studieuse et festive, motivante et stressante, elle rassemble enseignants et étudiants. Aux temps de réflexions succèdent des discussions enflammées autours des calques et des croquis collés sur les murs, étalés sur les tables ou jetés par terre. Et au milieu de ce chaos, les projets prennent forme et l’on voit surgir, ici et là, des perspectives des coupes et des plans. Lorsqu’arrive la dernière ligne droite avant le rendu, les dos se courbent, les yeux se cernent et la forme baisse, mais l’excitation monte, on marche à l’adrénaline : c’est la charrette finale. Les étudiants s’affairent chacun à son poste comme des matelots sur un bateau en proie à une tempête, on oubli les désaccords et on se concentre sur la tâche dont on est responsable, pour un bon projet, pour un rendu parfait, pour une meilleure note … pour une cause commune.
Voici l’envers du décor qu’on ne voit pas dans l’exposition réelle mais qui est raconté grâce à l’immersion, l’interactivité et l’information qu’offre Second Life.
Alors, rendez-vous dans l’autre monde, rendez-vous sur l’île privée de l’ENSAM :